Ionie et Pierre Silliere

Portrait de Ionie et Pierre Sillière pour le numéro 4 du magazine Là-Bas qui sort aujourd’hui mercredi 30 mai en kiosque. Ionie et Pierre vivent à Argentan et ont animé avec leurs modestes moyens un formidable élan de solidarité depuis la France à la suite du tsunami qui s’est abattu sur les côtes du Sri Lanka en décembre 2004. Grâce à sa connaissance du terrain, ce couple a permis de collecter et d’utiliser a bon escient des fonds pour inventer l’aide qui manquait sur place : équiper des hôpitaux pour femmes, fournir du micro-crédit à des réfugiés, ou encore réaclimater des enfants à l’eau suite au traumatisme de la vague dévastatrice. Mes images de leurs projets au Sri Lanka ici.

Copyright Arnaud Legrand 2012
Copyright Arnaud Legrand 2012
Copyright Arnaud Legrand 2012
Copyright Arnaud Legrand 2012
Copyright Arnaud Legrand 2012

Ionie et Pierre vivent à Argentan et ont animé avec leurs modestes moyens un formidable élan de solidarité depuis la France à la suite du tsunami qui s'est abattu sur les côtes du Sri Lanka le 26 décembre 2004. Grâce à sa connaissance du terrain, ce couple a permis de collecter et d'utiliser a bon escient des fonds pour inventer l'aide qui manquait sur place : équiper des hôpitaux pour femmes, fournir du micro-crédit à des réfugiés, ou encore réaclimater des enfants à l'eau suite au traumatisme de la vague dévastatrice.

Sinistre réminiscence le jour de notre rencontre pour réaliser ce portrait, une alerte au tsunami est déclenchée suite à un nouveau séisme le long des côtes indonésiennes. L'information passe en boucle à la télévision, et le téléphone n'arrête pas de sonner depuis le Sri Lanka où Ionie a encore de la famille. Heureusement, la population a suivi le protocole d'alerte et le nouveau tsunami n'a pas eu lieu.

Ionie a financé des projets de réinsertion et m'a donné en 2006 accès au camp de réfugiés pour illustrer les conditions de vie des enfants qui y habitaient.

Ionie est sri lankaise d'origine et vit depuis plusieurs d'années en France en Normandie. Chaque année, elle réalise plusieurs voyages avec son mari sur place pour évaluer les nouveaux besoins sur place et suivre l'avancement des projets qu'elle finance.

Ionie a financé des projets de réinsertion et m'a donné en 2006 accès au camp de réfugiés pour illustrer les conditions de vie des enfants qui y habitaient.